Crise à l'APAR : Le parti face à une démission massive du bureau national
Une crise majeure secoue l'APAR avec la démission collective de son bureau national, suite à des désaccords profonds sur la gouvernance et l'orientation politique du parti.

Le siège de l'APAR à Yaoundé, théâtre d'une crise politique majeure
Une crise majeure secoue l'Alliance des Patriotes pour le Renouveau (APAR), marquée par la démission collective de son bureau national. Cette situation intervient dans un contexte politique crucial pour le Cameroun, alors que les enjeux de stabilité politique et économique demeurent au cœur des préoccupations nationales.
Une décision controversée au cœur de la crise
Le point de rupture s'est cristallisé autour de la décision du leader Célestin Djamen d'engager l'APAR dans le G20, une coalition soutenant le Président Paul Biya. Cette initiative, prise sans consultation préalable, s'inscrit dans une période déterminante pour l'avenir politique du Cameroun, où l'unité nationale reste primordiale.
Les implications pour la stabilité politique
Cette situation met en lumière l'importance d'une gouvernance concertée dans les formations politiques camerounaises. Dans un pays où le développement national et la stabilité sont étroitement liés, ces tensions internes soulèvent des questions cruciales sur la cohésion politique.
Les motifs de la rupture
- Absence de consultation sur des décisions stratégiques
- Désaccords sur l'orientation politique du parti
- Questions de gouvernance interne
Cette crise intervient à un moment où le Cameroun a plus que jamais besoin d'unité et de stabilité pour poursuivre sa marche vers le développement. La restructuration attendue de l'APAR devra tenir compte des impératifs de cohésion nationale et de dialogue constructif.
Gabrielle Onguéné
Journaliste engagée. Sécurité interieure et culture locale.